Introduction

Jacques Brel disait dans l'une de ses chansons : Je vous ai apporté des bonbons/ Parce que les fleurs c'est périssable/ Puis les bonbons c'est tellement bon/ Bien que les fleurs soient plus présentables/Surtout quand elles sont en boutons/ Mais je vous ai apporté des bonbons/. Au Moyen-Age déjà, on consommait des fruits enrobés de sucre. Au début du 17ème siècle, à la cour du roi Henri IV, la reine Marie de Médicis, qui revient d'un voyage en Italie, fait déguster des friandises sucrées aux enfants, qui s'écrièrent alors "C'est bon ! Bon ! Le mot "bonbon" était né ! Les bonbons, c'est notre enfance passée à contempler, rêveurs, les vitrines de la boulangerie, avec ses pots remplis de réglisses, de sucres d'orge, de dragées et d'ours de toutes les couleurs... Pas une fois nous n'avons fait les courses avec notre maman sans lui demander, arrivés à la caisse : "Dis, je peux avoir des bonbons ?". Et nos yeux pétillaient quand enfin nous tenions ce précieux trésor dans nos petites mains d'enfants. Nous avons grandi, mais les bonbons sont toujours aussi attirants. Cependant, les temps ont changé, la science a progressé et a mis en lumière certains aspects négatifs des confiseries. Aujourd'hui, notre souci de bonne santé est plus important que nos envies sucrées. Pourtant, nous voudrions pouvoir concilier les deux, et continuer à manger des bonbons sans affoler notre médecin. Cela nous ammène à la problématique suivante : La santé occupant une place toujours plus importante dans notre société, le bonbon doit-il changer sa composition pour continuer à être consommé ? Dans un premier temps, nous nous intéresserons à la composition d'un bonbon. Puis nous nous pencherons sur ses effets néfastes sur la santé. Enfin, nous fabriquerons des bonbons naturels et verront s'ils remportent le même succès que leurs homologues industriels.


Le saviez-vous ?

Il existe trois sortes de bonbons : les bonbons dragéifiés, les bonbons gélifiés et les bonbons à pâtes aérées.


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